Yazd, ville située à 1230 m. d’altitude entre 2 déserts :
visite de la mosquée du vendredi qui date du 14ème siècle, de la mosquée Amir
Chakhmaq (1437, époque timouride), du mausolée de Rokn od-kin (15ème siiècle) et
du pishtaq, magnifique portail d’entrée d’un tekyeh du 19ème siècle (théâtre
religieux aujourd’hui disparu).
Découverte des « tours à vent », très ingénieux système de climatisation « biologique » et du système d’irrigation des qanât, canaux qui acheminent en souterrain l’eau depuis les piémonts des montagnes.
La vieille ville
|
Pas bête, cette gouttière |
Vestiges de constructions zoroastriennes à Cham
Visite du vieux village désaffecté
Visite d'un temple du feu zoroastrien
Rencontre avec des dignitaires zoroastriens
|
Après la conquête arabe, les zoroastriens furent reconnus comme ahl al-dhimma « gens du livre » et donc libres de pratiquer leur culte, ce qui ne les a pas préserves de vicissitudes au cours des siècles. La communauté de Yazd est estimée à plus de 10 000 personnes, la plus importante de l’Iran. Sa présence dans la province excentrée de Yazd est motivée par le souci de rester peu visible des centres du pouvoir islamique.
« Pour vivre heureux, vivons cachés ». |
Petit musée du zoroastrisme
|
Profession de foi zoroastrienne |
|
Au sujet du calendrier zoroastrien |
Spectacle dans une sorte de gymnase populaire dans un zurkhâneh, littéralement « maison de force » dont l’origine remonte à l’époque préislamique et
qui est une des expressions culturelles les plus particulières de l’Iran.
Pour les gourmands, dégustation - et achat - de pâtisseries
dans une des meilleures pâtisseries de l’Iran ce qui n'a pas coupé l'appétit pour le dîner.
|
Resto très "belle époque" et ... un peu" kitch" |